27 JUILLET 2010 - 16:44

La route est plus difficile que prévue, car la météo est capricieuse. Les ampoules n'en finissent pas à cause la pluie. J'enchaîne pic après pic et plante ma tente dans des paysages hallucinants. J'ai un peu dévié sur la haute route des Pyrénées et la vue est à couper le souffle. J'ai marché 13 heures d'affilée, perdu dans un brouillard épais dans d'immenses prairies espagnoles, fuyant l'orage. Je suis arrivé à Merens-Les-Vals, 180 km au compteur, des mains et lèvres gercées par des vents et des pluies glaciales. L'aventure continue...